• Rendez-vous pour l'émission "la vague d'ovni" de Didier de plaige, sur la radio "ici et maintenant!"
    Le dimanche, de 14h à 16h
    Le mardi à partir de 23h.

    Ici et Maintenant!
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    Le site de Didier de plaige, "Ovnis-usa", la veille ufologique américaine!
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  • Un responsable des Forces Aériennes Italiennes admet "la possibilité"
    que les Ovnis soient des engins non terrestres
    .

    Après une année 2008 qui se positionne comme l’année des records d’observations Ovni au
    niveau mondial (notamment au Canada et en Grande Bretagne), Les Italiens posent de plus
    en plus de questions quant à ce qui se manifeste dans leurs cieux. Depuis 2001 les forces
    aériennes ont catalogué 38 cas non expliqués dont 3 ( 1 observés par les forces armées avec
    corrélation radar) pour l’année 2008.


    Roberto Di Giorgio, responsable de la sécurité des forces aériennes italiennes admet la possibilité
    que derrière ces 38 Ovnis non expliqués, il y ait une intelligence extraterrestre à l’oeuvre même si à
    ce jour il n’y aucune preuve d’une vie ailleurs que sur notre planète et qu’on soit dans
    l’impossibilité de prouver que la thèse extraterrestre en soit la cause.


    Le premier et peut-être le plus intéressant s’est produit le 2 mars 2008 en soirée où un objet
    sphérique, de couleur blanche et rougeoyante avec un halo rouge à été observé à environ 200m
    au-dessus du sol, aux environs de Teresina ( Palerme).


    Le deuxième cas date du 28 juillet 2008 de nombreuses personnes de la ville de Riccione dont des
    membres de l'Armée de l'Air ont vu à 12h45 un objet irrégulier se déformer, et effectuer une
    pirouette sur lui-même pour ensuite disparaître


    Le troisième cas enregistré par l'Armée de l'Air a eu lieu le 21 août 2008 quand de nouveau les
    habitants de Riccione ont observé un objet mystérieux dans le ciel-cette fois il s’agissait une sphère
    rouge rougeoyante à 1500 mètres d’altitude à 21h30, le phénomène a duré 10 minutes.


    De leur coté, les médias ont mentionné d'autres incidents qui se sont produits l'année dernière :
    - Le 27 septembre le pilote d’un avion de ligne a vu et rapporté la présence d’un Ovni
    sphérique métallique traversant le ciel vers l’ouest.

    - Un vol civil de ligne aérienne de Catane vers Naples a le 15 octobre a rapporté avoir été
    suivi par un objet noir avec une traînée grise. Cet événement a été observé par des témoins
    au sol.

    -Un objet sphérique blanc a été vu le 16 novembre du sol ainsi que par les pilotes d'un avion
    de ligne. Il a volé au côté de l'avion puis tourné et a disparu.


    Beaucoup d'ufologues transalpins espèrent que d’ici peu les gouvernements du monde finissent par
    dire à leurs compatriotes ce qu'ils connaissent au sujets des Ovnis...


    Sources originales:
    - Article de presse "corriere della sera" du 19 février 2009.... ici
    - Article de presse "055news"..... ici
    - Article sur "julienews.it" du 19 février 2009.... ici

    Traduction Française de Marc Fernandez, Rhedae Magazine

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  • Monsieur Giraud est un ancien colonel de l'Armée de l'Air francaise.

    Le déroulement de cet incident a été reconstitué à partir des échanges radiophoniques entre le
    pilote et le contrôleur qui, selon la procédure en vigueur dans tous les centres de contrôle, sont
    systématiquement enregistrés et conservés pendant un certain temps.


    L'incident s'est produit le 7 mars 1977 vers 21 heures locales, dans le travers de
    Dijon, alors que le Mirage IV était de retour vers Luxeuil après une mission de nuit, avec de
    très bonnes conditions de vol, à l'altitude de 9600 m, à la vitesse de 0,9 Mach, pilote
    automatique branché.

    Le pilote, Mr Giraud, et son navigateur observent à 3 heures (code horaire)
    de leur avion une lueur très brillante, à la même altitude, venant à cap collision vers eux et se
    rapprochant très vite. Nous la désignerons ((assaillant)) (A1) dans la suite de l'exposé.

    M. Giraud interroge la station radar militaire de Contrexéville, qui les contrôle, pour leur
    demander s'ils ont un contact radar sur l'avion venant vers eux. En effet, M. Giraud et son navigateur
    pensent que c'est un intercepteur de défense aérienne qui, comme cela se pratique couramment,
    cherche à intercepter leur avion pour ensuite l'identifier au moyen de son phare d'identification.

    Le contrôleur radar, qui n'a aucun contact radar correspondant sur son scope,
    répond par la négative et demande aux pilotes de vérifier leur oxygène. Cette demande de la
    part du contrôleur est une procédure de secours classique ; elle montre bien que celui-ci est si
    surpris par la question de l'équipage qu'il pense à un ennui d'oxygène susceptible de générer
    une «hallucination».

    L'«assaillant A1» maintenant son cap vers le Mirage IV, Monsieur Giraud entame un virage à droite
    vers A1, virage qu'il est obligé de serrer de plus en plus (3 à 4 g) pour essayer de garder le
    contact visuel sur A1 et l'empêcher de se placer secteur arrière. Malgré cette manoeuvre A1
    s'installe derrière le Mirage IV à une distance estimée de 1500 m ; à ce moment M. Giraud renverse
    son virage pour retrouver un contact visuel sur A1, il voit la lueur s'éloigner très rapidement à
    11 heures ; il reprend le cap sur Luxeuil.

    45 secondes après sa reprise de cap vers Luxeuil, se "sentant observé", selon ses
    propres termes, M. Giraud dit à son navigateur: "tu vas voir, cela va revenir", et effectivement une lueur
    identique, que nous appellerons A2, apparaît à 3 heures.

    M. Giraud engage alors un virage très serré (6,5 g) pour dégager son appareil de ce qu'il
    considère désormais comme une menace réelle. La lueur suit l'évolution du Mirage IV pour
    se placer secteur arrière à une distance estimée de 2000 m ; M. Giraud renverse, comme
    précédemment, et voit à nouveau la lueur disparaître dans les mêmes conditions.

    Le contrôleur radar n'a toujours pas de contact radar sur l'«assaillant A2 ».
    M. Giraud et son navigateur poursuivent leur vol et rejoignent normalement la base de Luxeuil.
    Voilà pour les faits.

    Deux points méritent d'être soulignés:
    -Seul un avion de combat aurait pu avoir un comportement comparable à celui de A1 et A2
    (vitesse, manoeuvrabilité). Dans ce cas, le contrôleur radar aurait eu un contact radar sur cet avion,
    surtout à cette altitude, contact qu'il aurait d'autant mieux visualisé qu'il n'y avait aucun autre
    trafic aux alentours du Mirage IV
    .
    -compte tenu des évolutions apparentes de A1 et A2, qu'ils soient un même engin ou non,
    leur vitesse ne pouvait être que supersonique, ce qui, dans le cas d'avions de combat, se
    serait traduit au sol par un bang sonore très important du fait du phénomène de
    focalisation de l'onde de choc généré par le virage. Cela aurait été d'autant plus remarqué
    dans les environs qu'il faisait nuit, or aucun bruit n'a été perçu dans la région.



    Sources: Le rapport COMETA, dont la lecture est fortement recommandée à quiconque étant en recherche d'une information sérieuse au sujet du phénomène ovni, disponible en téléchargement gratuit et légal sur le site du GEIPAN (Groupement d'Etude et d'Information des Phénomènes Aériens Non-identifiés), ici: Rapport COMETA

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  • Bonjour et bienvenue!  (Nouvel espace, peu étoffé pour le moment, qui s'enrichira de jours en jours)

    Les objectifs de cet espace sont ceux-ci:

    Partager et diffuser l'information concernant le 'fait' ovni, sans aucune tentative de conclusion ni même de quelconques  interprétations.


    Evidemment, libre à chacun d'avoir des hypothèses, idées, opinions voire même croyances.
    Mais il sera ici uniquement question de rapporter des témoignages, des cas parmi les plus "solides" et des "faits" tels que: traces physiques produites par l'ovni, échos radars, observations concordantes faites par de multiples personnes au même moment, etc..

    Cordialement, et en vous souhaitant une bonne visite.

    Bannière du site ovni-partage


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  • Sept ans avant Trans-en-Provence, des fougères vidées de leur chlorophylle par un phénomène lumineux proche du sol.

    L'une des affaires d'ovni les plus significatives, en France, est celle de Trans-en-Provence, qui date du 8 janvier 1981.
    Elle doit son intérêt exceptionnel au fait que la science a permis de mettre en évidence des transformations biochimiques importantes sur les plantes qui poussaient sur le site de l'atterrissage (en l'occurrence, de la luzerne).
    Cette affaire a été exposée dans les numéros 207, puis 231/232 de Lumières dans la Nuit.
    Elle est rapidement devenue un cas "classique" en ufologie, et en raison même de son importance, elle a fait l'objet d'un 'debunking' forcené, les spécialistes en désinformation s'efforçant de la réduire à des causes banales: successivement aux effets secondaires de l'utilisation d'une bétonneuse, à un forage pétrolier clandestin, à des traces laissées par un Fenwick,
    et finalement... à une affabulation du témoin!
    Aucune de ces élucubrations, évidemment, n'expliquait les constats établis par le Professeur Bounias, concernant une profonde altération biochimique de la luzerne. On a longtemps cru que cet exemple était le premier du genre; or il n'en est rien:
    voici un cas analogue, qui s'était produit un peu moins de sept ans auparavant.


    L’incident:
    Lundi 20 mai 1974, 19 heures. Monsieur Le Meur, boulanger, accompagné de son épouse et de leurs deux enfants, roule sur la petite route qui les mène à Landévennec (Finistère), sur la rive nord de la presqu'île de Crozon.
    Depuis quelques instants, une puissante lueur attire leur attention, devant, au niveau du sol...
    A la sortie d'un virage, la source de lumière apparaît: il s'agit d'un "chapelet" de sept ou huit sphères, disposées horizontalement, à 1 m environ au-dessus de la route. Elles ont toutes un diamètre d'une quarantaine de centimètres, le chapelet ayant donc environ trois mètres de long. L'ensemble, qui se trouve à 25 m, tout au plus de la voiture, émet une très puissante lumière blanche.
    Ne comprenant pas à quoi il a affaire, M. Le Meur fait plusieurs appels de phares. Pas de réponse! Il fait demi-tour en toute hâte, et s'éloigne aussi vite qu'il peut. Il ne s'arrêtera qu'à la gendarmerie de Telgruc-sur-Mer, pour témoigner sans attendre.
    Le mardi 21 mai, les gendarmes examinent le lieu de l'incident. Sur le bord de la route, et sur une surface de 2 à 3 mètres carrés, les fougères paraissent anormalement flétries. Les enquêteurs de la Gendarmerie prennent de nombreuses photos des lieux, et prélèvent plusieurs plants de fougère, avec les racines. Ils font de même, pour comparaison, à 5m et à 8m du centre de la zone affectée.
    Les prélèvements sont aussitôt envoyés à un laboratoire privé, situé en région parisienne.

    Le contexte:
    On peut estimer que ni le lieu, ni la date de l'incident, ne doivent rien au hasard.
    Le lieu de la rencontre n'est qu'à une petite quinzaine de kilomètres, à vol d'oiseau, de la rade de Brest et de l'Ile Longue (en fait une presqu'île), qui abrite les sous-marins nucléaires. (La base aéronavale de Lanvéoc-Poulmic est plus proche encore: à 10km.).
    Quant à la date, ou plus simplement, à l'année, elle correspond à un remarquable pic d'activité du phénomène OVNI:
    nous sommes alors au plus fort d'une vague étalée sur plusieurs années, vague qui aboutira, en fin de compte, à la création du GEPAN en 1977, et à une période d'essor sans pareille pour l'ufologie en France.
    On trouve (dans LDLN 137, p. 27) la mention d'une autre observation d'ovni en date du 20 mai: celle de Bertangles, dans la Somme.
    Une autre apparition hors du commun se déroulera dans le Finistère quatre mois plus tard: c'est celle de Riec-sur-Bélon
    (LDLN 145), mais la liste des observations en France, au cours de cette année 1974, est impressionnante, et contient quantité d'autres affaires tout aussi extraordinaires.

    La chlorophylle a disparu!
    Quelques jours après l'incident, deux échantillons, de 1 g chacun de fougère, sont analysés, passés en ébullition pendant deux heures avec un mélange d'éthanol et de chloroforme, filtrés à chaud, puis évaporés.


    échantillon landevennec ovni 1974
    Photo Alain Launay

    L'échantillon témoin (flacon marqué "vert") pèse 50 milligrammes et contient de la chlorophylle et de la résine. L'autre ("marron"), prélevé sur les plantes qui ont dépéri, ne contient plus que 20 milligrammes après l'opération. La chlorophylle a totalement disparu. M. Vernier, chimiste organicien, constate la présence d'un élément inconnu présentant un spot en chromatographie.
    Cet élément non identifié n'apparaît qu'en lumière ultraviolette.
    Le rapport conclut:
    "disparition de la chlorophylle, vieillissement accéléré, traumatisme biochimique d'origine indéterminée".
    Mis au courant de l'affaire, le député du Finistère en informe aussitôt le Ministère de la Défense.


    La chlorophylle a disparu... et le dossier aussi!
    Si le traumatisme subi par les végétaux est inexplicable, l'aboutissement final du dossier est tout aussi obscur.
    Du Ministère de la Défense, il est transmis à celui de l'Industrie et de la Recherche, "l'organisme le plus habilité à ce type de recherche". Le député du Finistère, proche du Ministre de la Défense Yvon Bourges, tente de le récupérer, en vain.

    Un très bref article a été consacré à cette affaire dans le numéro 86 de Armor, le magazine de la Bretagne, un mensuel économique aujourd'hui disparu. Dix lignes seulement lui sont consacrées dans le livre de Jean-François Boedec, Fantastiques Rencontres au Bout du Monde, publié en 1982.

    Cette affaire de Landévennec semble être le premier cas d'analyse biochimique mettant en évidence un traumatisme des végétaux sur un site d'apparition d'ovni.


    Sources:
    Le magazine "Lumières dans la nuit" n°386, de Joel Mesnard.

    Site internet de "Lumières dans la nuit" en cliquant... ici

    Dossier téléchargable légalement et gratuitement dans la section "téléchargements" du site "ufo-science"... ici
    Site internet de l'association "ufo-science"... ici


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